LE DERNIER VOYAGE DE DANIEL STOLZENBERG
Les chaînes de télévision locale avaient annoncé dimanche 23 octobre 2005 que sept alpinistes français, dont Daniel Stolzenberg (60 ans), professeur dans la grande station alpine de Chamonix, et onze de leurs guides étaient morts lorsque leur campement a été pris dans une avalanche alors qu'ils étaient en route pour le sommet du mont Kang Guru.
L’association des secours en Himalaya (HRA) a annoncé officiellement ce 24 octobre les décès de 7 alpinistes français et de 11 guides Népalais. Le groupe d’alpinistes n’a pas survécu à l’avalanche survenue au cours de l’ascension du massif de l’Annapurna.
L’ensemble de l’expédition qui s’était regroupée au camp de base, suite à une tempête de neige, a été enseveli par une énorme avalanche. Quatre sherpas ont pu en réchapper et sont redescendus jusqu’au premier village pour donner l’alerte. Les secours ralentis par des conditions climatique inhabituelles pour la saison n’ont pas retrouvé les corps des 7 alpinistes et des 11 sherpas ensevelis à leur camp de base au pied du mont Kang Guru (6981 m). Le chef de l’équipe de secours a expliqué que la masse de neige était telle qu’il avait été impossible de retrouver qui que ce soit vivant.
« Je connaissais Daniel Stolzenberg. C’était un excellent professionnel », reconnaît l’alpiniste français Jean-Christophe Lafaille qui a déjà conquis 11 des 14 sommets de plus de 8000 mètre.
Son épouse Marie-Odile Stolzenberg a également péri lors de l’expédition.
Les autres victimes travaillaient à Chamonix: Bruno Chardin était directeur des remontées mécaniques de la station, il était à sa deuxième expédition au Népal. Bernard Constantin était guide de moyenne montagne, il avait déjà effectué plusieurs ascensions dans l’Himalaya. Grégory Flematti, 35 ans, souhaitait marcher sur les traces de son père René Demaison qui avait réalisé plusieurs premières dans les années 60.
L’association des secours en Himalaya (HRA) a annoncé officiellement ce 24 octobre les décès de 7 alpinistes français et de 11 guides Népalais. Le groupe d’alpinistes n’a pas survécu à l’avalanche survenue au cours de l’ascension du massif de l’Annapurna.
L’ensemble de l’expédition qui s’était regroupée au camp de base, suite à une tempête de neige, a été enseveli par une énorme avalanche. Quatre sherpas ont pu en réchapper et sont redescendus jusqu’au premier village pour donner l’alerte. Les secours ralentis par des conditions climatique inhabituelles pour la saison n’ont pas retrouvé les corps des 7 alpinistes et des 11 sherpas ensevelis à leur camp de base au pied du mont Kang Guru (6981 m). Le chef de l’équipe de secours a expliqué que la masse de neige était telle qu’il avait été impossible de retrouver qui que ce soit vivant.
« Je connaissais Daniel Stolzenberg. C’était un excellent professionnel », reconnaît l’alpiniste français Jean-Christophe Lafaille qui a déjà conquis 11 des 14 sommets de plus de 8000 mètre.
Son épouse Marie-Odile Stolzenberg a également péri lors de l’expédition.
Les autres victimes travaillaient à Chamonix: Bruno Chardin était directeur des remontées mécaniques de la station, il était à sa deuxième expédition au Népal. Bernard Constantin était guide de moyenne montagne, il avait déjà effectué plusieurs ascensions dans l’Himalaya. Grégory Flematti, 35 ans, souhaitait marcher sur les traces de son père René Demaison qui avait réalisé plusieurs premières dans les années 60.
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Par un courrier daté du 9 juin 2005 et posté depuis Bastelica (Corse) dans les montagnes Corses, et dans une plainte contre la pègre savoyarde liée à l’ump et ayant recours au services de l’avocat mafieux Ballaloud yves, je mentionnait clairement STOLZENBERG DANIEL pour sa complicité avec ce réseau.
ENSA : Stolzenberg Daniel (contrôleur de la profession de guide)
Voici comment il était cité en page 2 de cette lettre dont bien sûr il ne fut tenu aucun compte.
La Bête du 74 se reconnait toujours à son impunité totale.
18 = 6+6+6 =0
Une risposte signée de l'Ange contre la Bête
